Une réunion importante des collectifs pour des candidatures unitaires s’est tenue le 10 septembre à la Bourse du Travail de Saint-Denis. Importante car il s’agissait autour d’un texte intitulé « Ambition et stratégie » de trancher sur les options politiques fondamentales de telles candidatures. La question décisive a porté sur les relations au PS : faut-il envisager un rassemblement de toute la gauche alors même que le PS confirme jour après jour son choix social-libéral. La LCR, présente à cette réunion, avait déposé trois amendements affirmant clairement une indépendance (...)

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En lançant sa campagne, lundi 28 août, lors de l’université d’été de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) à Port-Leucate, dans l’Aude, devant plus de 700 personnes, Olivier Besancenot a affiché sa détermination à porter le flambeau de la "vraie gauche anticapitaliste" lors de l’élection présidentielle de 2007.
Cette ambition suscite des interrogations récurrentes à l’intérieur de la LCR sur l’opportunité pour son candidat de se présenter seul alors que la gauche du non au référendum du 29 mai discute toujours d’une candidature unitaire. Elle se heurte aux consignes du premier (...)

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Le candidat de la LCR a ouvert sa campagne. Pour le courant minoritaire du parti, une candidature unitaire de la "gauche de la gauche" reste possible.
Olivier Besancenot, candidat de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR) à la présidentielle de 2007, a donné lundi 28 août soir le coup d’envoi de sa campagne à l’université d’été de l’organisation trotskiste à Port-Leucate (Aude), devant 750 militants. Ce rendez-vous annuel de la LCR n’a pas la même affiche que l’an dernier lorsque les leaders de la "gauche du non" au referendum européen, la secrétaire nationale du PCF Marie-George (...)

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Article paru dans le Nouvel Observateur de la semaine du jeudi 24 août 2006 suite à un sondage Sofres/Nouvel Obs
Par Alain Krivine,
D’abord, prudence avec les sondages. Le lien entre les partis traditionnels et leur électorat est tellement distendu que tout peu bouger rapidement. Le désarroi est grand dans l’opinion après les différentes expériences gouvernementales de droite dure et de gauche molle qui n’ont rien apporté aux couches populaires. Sans oublier le traumatisme du 21 avril 2002 ! Ce qui apparaît, c’est la volonté d’une bonne partie de la population de chasser la droite (...)

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